Découvre une histoire unique, mon histoire

Resilius

En marche vers la résilience – Odyssée d’un immigré en Suisse retrace mon parcours d’immigration, les défis rencontrés et les leçons apprises en chemin.

Citation du livre « En marche vers la résilience »

Et si cette histoire, c’était un peu la vôtre ?

Il y a des moments dans la vie où l’on traverse des tempêtes intérieures, des remises en question profondes, des départs difficiles, des silences lourds… Peut-être avez-vous connu ces hauts et ces bas, ces instants de solitude où personne ne semble comprendre ce que vous ressentez.

Ce livre ne raconte pas seulement mon histoire. Il parle aussi de celles et ceux qui, comme moi, ont dû avancer malgré les blessures, les doutes, les pertes ou les exils. Mais surtout, il parle de ce lien invisible qui nous unit aux autres – ce lien parfois tendre, parfois douloureux, souvent incompris.

Les relations humaines sont au cœur de ce parcours : les liens familiaux qui vacillent, les amitiés qui se transforment, les attentes déçues, les mots non-dits qui laissent des traces. J’aborde sans fard ces tensions, ces malentendus, ces déchirures… mais aussi les réconciliations possibles, les élans de cœur, les gestes de lumière.

Si vous avez déjà eu l’impression de marcher seul dans l’ombre, alors ce récit pourrait bien résonner en vous. Parce qu’au fond, nous sommes nombreux à avoir vécu des chemins semblables, même si chacun les parcourt à sa manière.

Vous n’êtes pas seul. Ce livre est une main tendue. Un miroir. Une voix qui pourrait être la vôtre.

Genre: Roman Autobiographique avec une touche de développement personnel

Date de sortie: mai 2025

Nombre de page: 218

Nombre de chapitres: 9

Éditeur: Auto-édition sur la plateforme Book on Demand

Format: 13.5x 21.5 cm, disponible en livre papier et E-Book

Où me procurer ce livre: Sur de nombreuses librairies en ligne comme bod, amazon KDP et fnac

JE VEUX LIRE CE LIVRE →

L’exil intérieur

Je suis parti, non pas pour fuir un pays, mais pour tenter de me retrouver. L’exil n’a pas été qu’un voyage géographique, c’était une rupture intérieure. Une tentative maladroite de recommencer là où je n’avais encore jamais été.

Une solitude invisible

J’étais entouré, et pourtant seul. Les mots ne sortaient plus, car qui pouvait comprendre ? Qui voulait entendre cette douleur feutrée, silencieuse, celle qui ne crie pas mais ronge ?

Des liens qui marquent

Les liens du sang ne sont pas toujours des liens du cœur. J’ai appris que parfois, aimer, c’est aussi s’éloigner pour survivre.

Une résilience en marche

Je ne suis pas un héros. Je suis juste quelqu’un qui est tombé, souvent, et qui s’est relevé, lentement. Parfois avec rage, parfois avec tendresse. C’est cela, ma résilience.